À la lumière de la recrudescence de l'activisme politique récent en ce qui concerne le mouvement Black Lives Matter, de nombreux jeunes explorent l'activisme social à travers différentes plateformes et moyens.
Les jeunes se sentent souvent confinés par leur âge, impuissants par leur incapacité à voter, à participer au gouvernement ou même à discuter de politique sans être repoussés. Les médias sociaux sont devenus un véhicule à travers que de nombreux adolescents ont choisi de partager des informations et un soutien pour les causes semblables. Cette méthode permet aux jeunes de s'exprimer. Mais ça peut être décourageant, car la plate-forme a une capacité limitée à offrir des solutions.
En tant que jeune, je pense que la meilleure façon de faire en sorte que les jeunes se sentent à la fois vus et entendus est de faciliter la discussion entre les jeunes citoyens et ceux qui ont le pouvoir d'élaborer des politiques. Un tel discours peut combler le fossé entre les jeunes et le domaine de la politique, embrasser l'engagement des jeunes et encourager la prise de conscience. Les jeunes doivent faire entendre leur voix afin d'être équitablement représentés dans les affaires communautaires et de se sentir vraiment vus et entendus dans les enjeux.
Sans la capacité d'exercer le pouvoir dans leur communauté et de s'attaquer à ces problèmes, de nombreux jeunes sont insensibles aux besoins de leur communauté. Établir une communication plus forte entre les organismes communautaires et les jeunes est le moyen le plus tangible de s'assurer que les jeunes se sentent inclus et engagés.